Guitare Débutant



  Accueil  Debuter  Accords  Rythmique  Arpege


Tablatures
 
 

Mascottes d'Iron Maiden[modifier]

Eddie et les pochettes[modifier]

La mascotte du groupe est Eddie, une sorte de mort-vivant reproduit dans différentes postures sur toutes les pochettes du groupe (à l'exception de celles de quelques singles : The Soundhouse Tapes, Live+one, Running free/Sanctuary, From here to eternity, Wasting love, Wrathchild (réédition 1999) et The wicker man). Elle est surnommée « Eddie the 'ead » (« Eddie la tête ») car, au début, seule sa tête était affichée sur scène. En fait au tout début, il ne s'agissait que d'un masque blanc disposé au-dessus de la scène et qui à la fin des concerts crachait sang et fumée.C'est d'ailleurs de là que son nom est venu. Les londoniens d'East-End ne prononcent pas certains "H" notamment en début de mot, ainsi "head" est prononcé "ead" qui sonne comme le prénom "Ed". Quand Riggs s'est mis à travailler pour le groupe, il a amené l'idée d'Eddie. Selon ses propres dires, il s'est inspiré d'un reportage sur la Bataille de Guadalcanal : où la tête brulée d'un soldat japonais émerge d'un tank carbonisé; Eddie était né. Le personnage d' « Eddie the 'ead » proviendrait également d'une vieille histoire drôle, typique de l'humour noir anglais, qui circulait dans le quartier du East End, à Londres : Eddie était un enfant né sans corps, juste avec une tête, à qui son père offrait un chapeau à tous ses anniversaires. En ce qui concerne la marionnette géante, elle apparaît sur scène pour la première fois pendant la tournée Beast On The Road (1982). L'idée était de donner aux shows un côté plus spectaculaire. Ses apparitions correspondront dès lors avec les pochettes et les thèmes illustrés pour les albums (momie, cyborg, etc.)

Les pochettes sont quasiment toutes signées du dessinateur Derek Riggs, du moins jusqu'en 1992. Au fil des albums, Eddie évolue et a ainsi une histoire.

Sur les trois premières pochettes, c'est un zombie aux cheveux longs comme tous les hard rockers de l'époque. Sur l'album Piece of Mind, Eddie se fait lobotomiser ; on voit la cicatrice purulente de la trépanation, et la calotte crânienne est maintenue par une plaquette vissée. La pochette le représente enchaîné dans une camisole de force, dans une chambre capitonnée. Sur l'album Somewhere in Time, Eddie se cybernétise et gagne un œil électronique qu'il gardera jusqu'à l'album suivant.

Les pochettes les plus travaillées sont sans doutes celles du Powerslave, du Live After Death et du Somewhere in Time (l'époque du vinyle aux grandes pochettes favorise en effet, la représentation à l'échelle de fresque). On y trouve une multitude de détails, citation d'œuvres fantastiques et de science-fiction, et des références aux anciens albums. On peut citer par exemple :

  • Powerslave :
    • parmi les hiéroglyphes, on distingue une tête de Mickey Mouse, un graffiti Indiana Jones was there
    • la Faucheuse au bas du mur de gauche, sur l'arrière du CD
  • Live After Death
    • une citation de H. P. Lovecraft sur une tombe (That is not dead which can eternal lie, yet with strange eons, even death may dieN'est pas mort ce qui à jamais dort, et au long des siècles peut mourir même la mort)
    • le chat noir de la pochette de Killers
    • divers graffiti sur les pierres tombales
    • l'ombre de la faucheuse à l'arrière-plan
  • Somewhere in Time, pochette extrêmement fournie : on peut trouver près de 40 références.
    • la rue des deux premiers albums, avec le lampadaire, la poubelle, les fenêtres colorées et une affiche avec le premier dessin d'Eddie
    • une horloge indique « 23:58 » pour Two Minutes to Midnight (album Powerslave), un bar s'appelle Aces High (et l'on distingue la silhouette d'un Supermarine Spitfire(id.)
    • Icare tombe du ciel (Flight of Icarus, album Piece of Mind)
    • la pyramide de la Tyrell Corporation (qui évoque également l'album Powerslave), tirée du film Blade Runner de Ridley Scott et un peu plus loin, l'immeuble Asimov Foundation (hommage à l'écrivain de science-fiction Isaac Asimov, et à son cycle de romans, Fondation)
    • un pub s'appelle Ruskin Arms, du nom du pub dans lequel s'est fait connaître le groupe, tout comme le Rainbow, le Marquee ou encore Long Beach Arena où fut enregistré le Live After Death.
    • dans une vitrine, une banderole indique à l'envers « This is a very boring painting »
    • la vitrine d'un bar affiche une citation de la peinture Night hawks (Les Oiseaux de nuit) d'Edward Hopper
    • Le groupe jouant au Metal Club (sous la passerelle) ce soir là est Gypsy's kiss, le nom du premier groupe de Steve Harris
    • La plaque de rue « Acacia Avenue » en référence à la chanson 22, Acacia Avenue
    • Au dos, en banderole sur un pont, West Ham United (le club de football préféré de Steve Harris) bat le club rival d'Arsenal 7-3
    • Toujours au dos, on peut apercevoir le TARDIS, une cabine de police transformée en machine à voyager dans le temps dans la sérieDr Who (série très célèbre au Royaume-Uni).
    • le Ancient Mariner Seafood restaurant fait référence à la chanson The Rime of the Ancient Mariner (De l'album Powerslave)
    • le Phantom of the Opera House, référence à la chanson Phantom of the Opera (De l'album Iron Maiden)
    • Le Night club Sand Dune référence à la chanson To Tame a land et au cycle de Dune de Frank Herbert.
    • on distingue un smiley sur une des tours à l'arrière-plan
    • au fond de la ville, des pyramides évoquant l'album Powerslave'
    • Sur la façade d'un bâtiment, juste au-dessus de la représentation des cinq musiciens, on peut apercevoir l'écriture « Maggie's Revenge », en hommage à la pochette de Prowler (édition japonaise) et Sanctuary (single différent, mais pochette identique), illustration sur laquelle on pouvait voir Eddie maltraiter avec une certaine malice le Premier Ministre de l'époque : Margaret Thatcher.
    • On peut distinguer sur l'affiche du cinéma Phillip K. Dick l'inscription « Live After Death plus Blade Runner »
    • Bruce Dickinson tient un cerveau, et l'on voit, au-dessus de la passerelle, la pièce métallique servant à refermer le crâne de Eddie, en référence à l'album Piece of Mind.
    • L'ombre de la Faucheuse en transparence à droite de la deuxième pyramide au fond.
    • Le chat noir devant le pilier, entre les jambes d'Eddy
    • Il y en a encore énormément comme l'œil d'Horus, le signe sur la poitrine d'Eddie (signature de l'artiste Derek Riggs) qu'on retrouve sur la pochette de Powerslave, Charlotte au 1er étage du Ruskin, etc.
    • Sur le teeshirt que porte McBrain, il est inscrit « Iron what? », comme sur les photos issues de la promotion de l'album Piece of Mind
    • Au bout de la rue, sous la passerelle, au loin, un magasin HMV.
    • Sur un bâtiment, à droite de la passerelle, on peut voir Batman.

Charlotte[modifier]

Charlotte est une prostituée de 40 ans qui revient dans quatre chansons : Charlotte the Harlot (album Iron Maiden), 22, Acacia Avenue(album The Number of the Beast), Hooks In You (album No Prayer For The Dying) et From Here to Eternity (album Fear of the Dark). Dave Murray dit qu'elle existe vraiment, elle aurait exercé son métier dans le quartier où il a grandi.




Créer un site
Créer un site